Cela faisait à présent quelques semaines que Yukishiro était arrivée sur l'île du Jocker. Curieusement, elle parvint vite à s'adapter à ses nouvelles conditions de vie et son nouvel environnement. Pour tout dire, Yuki interprétait tout cet étrange univers comme un échiquier géant, et comme tout jeu, mieux valait-il s'adapter aux règles dès le début pour avoir une chance de s'imposer dans la partie.
Elle n'était certes qu'une petite carte, mais hors de question de rester dans l'ombre ! La marionnettiste souhaitait prouver à toutes les figures, chaque habitant qui parcourrait les environs, qu'ils vivaient dorénavant sur la même île que la délicieuse Yukishiro Takayama !

Durant les premiers jours de son "séjour", Yuki n'avait pas quitté la partie la plus isolée de l'île, où résidait la plupart des cartes de Piques, ses semblables. Un jour, elle entendit parler d'un parc qui se trouvait dans le domaine des Trèfles. Ce parc l'attirait tout naturellement, car c'est précisément ici que sa carrière de marionnettiste avait débuté jadis. Il fallait à tout prix qu'elle s'y rende pour se faire remarquer !
Rangeant son matériel, composé de petites poupées et de ficelles, dans un petit sac à main en cuir, elle se mit joyeusement en route.

Quelques minutes plus tard, Yukishiro fut enfin arrivée aux portes du parc. Cet endroit dégageait une atmosphère de sérénité, les lieux semblaient bien plus calme et reposant que le cocon des Piques ! Le sourire aux lèvres, elle s'avança d'une démarche légère.
Et tout à coup, elle cessa d'avancer, comme si ces pieds étaient soudainement emprisonnés par la glace. Alors que la joie semblait rayonnée sur son visage, Yuki fut soudainement prise d'un sentiment de désespoir. Encore cet impression de se sentir exclu de ce monde... Elle ne comprenait jamais l'origine de cette déchirante émotion.
Posant une main contre son cœur, la demoiselle se mit à respirer et inspirer doucement, se disant qu'avec un peu de chose, cela l'aiderait à se calmer. Cette sensation finit heureusement par s’estomper au bout de quelques secondes. Mais c'était là une expérience des plus effrayantes...

Oubliant ce qui venait de lui arriver, la petite carte reprit son chemin. Elle repéra de loin une personne assise sur un banc, immobile, seule. Etait-ce un homme ou une femme ? Impossible pour la demoiselle de répondre à cette question. Curieuse, elle s'avança encore.
La voilà à présent debout en face du mystérieux inconnu. Les yeux clôt, la tête légèrement incliné sur la gauche, celui-ci semblait profondément perdu dans ses pensées. A moins qu'il ne s'était endormi ?
Bien qu'elle était à présent devant lui, impossible pour Yuki d'affirmer si c'était un homme ou une femme. D'une silhouette tellement androgyne, il était vêtu tout de noir, tout comme elle. La marionnettiste trouva sa tenue élégante, puis se dit aussitôt qu'elle était encore plus belle dans sa robe gothique lolita.

Cet individu attirait étrangement Yukishiro, sans doute parce qu'il semblait être si seul. Ainsi, la jeune femme se sentit supérieur et souhaitait absolument tisser une relation avec lui, afin de devenir indispensable à ses yeux. Oui, voilà une idée très intéressante !
Ne voulant pas l'effrayer, la demoiselle se pencha un peu plus en avant et prononça d'une douce voix :

- Bonjour... Belle journée n'est-ce pas ?

Elle passa ensuite une main sur une des mèches sombre de son interlocuteur et la caressa affectueusement d'un geste lent.

Un beau jour de soleil, sûrement le moment idéal pour se promener. Aiko était particulièrement de bonnes humeur aujourd'hui, il fallait en profiter. Elle décida d'en enmenner sa plus belle "Flying V" et son meilleur amplificateur de petite taille. Par ce temps là, les gens devaient apprécier les douces mélodies des guitares, les beaux solos. Et puis, se faire un peu d'argent en faisant plaisir ne fait jamais demal ! Aiko enfila une belle robe de toile noir et rouge, avec de belles santiags noirs, son look préféré. Elle regarda par la fenêtre de son appartement de la zone des piques, les gens avaient l'air heureux. Aiko se dit que ça allait être une bonne journée. Espérons le.Elle sortit de son appartement, il faisait une très bonne chaleur, le ciel était bleu et l'air était pure. Pourquoi pas ne pas aller au parc
dans la partie ouest? Elle allait souvent jouer dans la salle de concert. Elle avait remarquée que beaucoup de monde dans cette partie aimait sa musique. Elle pouvait se faire une petite fortune aujourd'hui. Elle pensait tellement qu'elle ne remarquait pas le temps passait en marchant. Mais, elle même ne savait pas à quoi elle pensait. Elle était perdu dans l'horizon du ciel bleu. Un moment elle voulait pleurée. Un autre moment elle était euphorique. Elle ne comprennait pas pourquoi ça lui arrivait. Elle pensait que ce devait être son Sôseiji inconnu. En
tous cas, lui devait être heureux. Elle cherchait encore l'amour, mais impossible de le trouver. Elle avait l'impression d'interesser personne. Elle se sentait misérable, chaque soir elle était seule dans son lit, seule à manger et seule dans une douche.
Elle avait tellement envie d'une âme-soeur, homme ou femme.. Qu'importe? Dans n'importe quelle séxualité il y a de l'amour. Mais elle n'a jamais mis la main dessus. Toujours vierge. Elle esperait encore et encore qu'une magnifique personne doit touchée par une flêche de Cupidon,
oh oui, elle le désirait plus que tout au monde.

Elle était arrivée au parc, elle s'assit et brancha son petit ampli à une prise secteur commune. Elle brancha sa guitare et sa pédale d'effet. Elle jouait longtemps, les passants s'arretaient devant elle. Ils applaudissaient à chaque fin d'un solo et donner de l'argent. Aiko était fière d'elle et heureuse. 1 heure était passée, elle avait soif et était fatiguée. Elle acheta un soda frais à un distributeur pas loin. Elle commençait à rentrer mais elle aperçut deux juenes filles. L'une était assise sur un banc et l'autre debout face à elle. Celle assise avait l'air complètement perdue et ne
pouvait être décrite comme homme ou femme, mais cette personne l'attirait.. Celle debout avait de longs cheveux et transportait des marionettes. Elle portait une magnifique robe gothique, Aiko aimait les filles de ce style. Elle s'approcha derriere eux et entendit
"Bonjour... Belle journée n'est-ce pas ? "
Aiko se mit juste derriere la gothique et repliqua:
- Bonjour, oh oui c'est une belle journée, rares sont celles comme celle-là.

Ouvrant ses yeux d'un geste brusque, l'adulte posa son regard sur Yukishiro et hocha brièvement la tête en gage de réponse. Avant que la marionnettiste ne puisse ajouter une parole de plus, une autre voix vint se mêler à la conversation brièvement engagée :

- Bonjour, oh oui c'est une belle journée, rares sont celles comme celle-là.

Yukishiro cligna des yeux de stupeur, ces quelques mots ne provenaient pas de la bouche de la silhouette androgyne. Il s'agissait d'une voix douce, légèrement fluette.

La jeune femme se retourna et fit face à la nouvelle venue. Sous ces yeux sombres se dressait une adolescente, celle-ci tenait dans sa main un soda et transportait avec elle une guitare électrique en forme de V. Sa tenue vestimentaire se composait d'une robe en toile rouge et noir accompagnée d'une paire de santiags. On pouvait dire que ce look ne sortait pas de l'ordinaire... Cette personne devait se méfier, on ne devait absolument pas faire de l'ombre à la marionnettiste, sinon c'était la crise de nerf assurée.
Écartant cette mauvaise pensée de son esprit, Yuki afficha un sourire bienveillant et décida d'enchaîner la conversation :

- Si vous le dîtes, cela fait peu de temps que je suis arrivée sur cette île. Mais le climat m'a l'air plutôt doux et estival, quelle chance !

Ne voulant pas écarter son autre interlocuteur, la gothique lolita tourna sur ses talons afin de revenir sur celui ou celle qui ne s'était pas encore exprimer. Ce dernier reconsidéra les deux jeunes femmes, adoptant visiblement un simple rôle d'observateur. Refuser de s'exprimer signifiait en quelque sorte ne pas vouloir montrer son existence. Tout l'inverse de Yuki et, cela l'arrangeait beaucoup, son sentiment de domination ne faisait qu’accroître.
Et le jeu ne faisait que commencer.

Le moment semblait propice pour impressionner les deux personnes qui avaient le privilège de se retrouver en sa compagnie. Il était temps pour la marionnettiste de sortir de sa boite à malice une de ses adorables créations !
Yukishiro ouvrit ainsi la fermeture éclair de son sac en cuir et piocha une poupée en tissus qui comportait plusieurs fils sur son corps, principalement au niveau des bras et des jambes. La marionnette représentait une petite danseuse étoile, ses longs cheveux blonds furent retenues par un chignon et sa tenue fut composée d'un tutu blanc ainsi que la traditionnelle paire de ballerines en pointe.
Sa poupée en tissu en main, la demoiselle prit place près de la personne assise, en poussant au passage un trognon de pomme jusqu'à l'extrémité du banc. Ensuite, au bout de quelques secondes seulement, elle enroula les fils autour de son bras. Posant la poupée sur ses jambes, ses mains effectuèrent plusieurs mouvement gracieux et précis, faisant virevolter et vivre la danseuse. Adoptant une concentration extrême, Yuki garda les yeux river sur son pantin et fit de son maximum pour rendre le spectacle aussi réaliste que possible.
Après avoir effectuée ses quelques pas, la petite poupée joignit ses deux mains et s'inclina, comme si un public se tenait devant ses yeux et avait suivie sa prestation depuis tout ce temps. Une fois sa courte démonstration achevée, les yeux de Yukishiro se glissèrent d'abord en direction de la musicienne, puis de l'androgyne. Enfin, la jeune femme s'exclama joyeusement :

- J'espère que cela vous a plu !


[ Hors rp : Pas de panique Kaori, tu suis exactement les caractéristiques de ton perso ]

"Si vous le dîtes, cela fait peu de temps que je suis arrivée sur cette île. Mais le climat m'a l'air plutôt doux et estival, quelle chance !"
Voici la phrase qui srotit de la bouche de la magnifique marionnettiste. Elle avait l'air très heureuse, elle souriait énormement.. Ca faisait plaisir à AIko de voir un visage aussi rayonnant que celui-là.. Elle n'en voyait pas beaucoup sur l'île, enfin d'aussi proche. L'étrange personnage séduisant assis sur le banc se taisait toujours.. Il répondait juste par des signes de tête, il avait l'air malheureux. Peut être était-il malade, des grimaces se formaient sur sa bouche de temps en temps.. Son Soseiji devait lui en faire des misère à ce pauvre personnage. Aiko avait tellement envie de le connaitre, elle sentait quelque chose de fort s'approcher entre elle et lui.. Mais elle ne voulait pas lui en parler, au risque de lui faire peur. Peut-être était-ce juste les hormones de son pauvre petit coeur qui étaient trop
sensible à la moindre attirance. Mais peut importe? Tout était fragile chez elle.. Que ce soit son coeur ou ses sauts d'humeur sexuels. Elle avait appris, heureusement, à les contrôler. Mais la jolie guitariste restait intriguée par cet éléguant personnage.

Malgré la timidité de l'androgyne, le contraire était bien là. La jolie marionnettiste était toujours là. Elle avait l'air aussi tourmentée par l'étrange personnage que Aiko. Elle se posait sûrement les mêmes questions. Elle était tellement ravissante et adorable. On pouvait sentir sa gentillesse du plus profond des entrailles. Aiko se sentait encore de meilleure humeur qu'au début de la journée. Elle voulait adresser une phrase, mais la jolie demoiselle se déplaca devant son sac en cuir. Il était très beau d'ailleurs, Aiko pensait à s'acheter le même. Elle tira la fermeture éclair et sortit une marionnette. Elle avait un beau chignon blond, qui signifiait qu'elle devait avoir de longs cheveux.. Elle portait un joli tutu blanc et des ballerines. Aucun doûte possible, une danseuse ! La jolie femme en robe noire fit vivre sa Muppet. Là fit danser, c'était un merveilleux spectacle.. Malheureusement il s'acheva très rapidement. Après quelques pas, la poupée s'inclina devant Aiko et l'androgyne. Aiko tapa fort des mains et était emerveillée. Quand le regard de Aiko et de la marionnettiste se rencontrèrent, leur bouche s'ouvrèrent:
- J'espère que cela vous a plu !
- Oh bien sûr.. C'était epoustouflant, merveilleux.. Aucun mot pour tout décrire. J'ai hâte de revoir ses pas de danse..

Le spectacle venait de s'achever et aussitôt l'adolescente aux cheveux bruns se mit à applaudir. Cette dernière semblait être tombée sous le charme, allant jusqu'à en demander d'avantage.
Avec ses traits encore juvénile, Yukishiro décela avec plaisir, dans les yeux de son interlocutrice, une délicieuse âme d'enfant. Il s'agissait là d'une bien intéressante marionnette, qui souriait chaleureusement si on lui offrait de quoi se divertir. Merci qui ? Merci Yuki bien évidemment !

La jeune femme tourna ensuite la tête vers l'étrange inconnu, toujours muré dans son silence. La marionnettiste eut soudainement peur que sa représentation ne lui avait pas plu, pourtant son interlocuteur ne détachait pas sa petite danseuse classique des yeux. Quoi qu'il avait bien pu penser de cette démonstration, sans doute avait-il dû être attentif et intrigué par cette jolie petite poupée.
Cela n'empêcha pas à Yuki d'être légèrement déçue de ne pas avoir récolté des félicitations de sa part. Voilà qui était un peu moins amusant tout à coup. Elle s'attendait tout de même à un minimum d'émotions !

Des émotions... Un manque de personnalité. Un mal être intérieur. Un vide. Voilà des sentiments qui n'étaient pas familier à Yukishiro. Tout provenait apparemment de ce fameux Sôseiji. Et les deux personnes ici présentes en sa compagnie possédaient également un jumeau, car après tout, chaque habitant de cet île se retrouvait ici pour la même raison, cette mystérieuse maladie.
Pendant un court instant, la jeune femme observa l'androgyne de plus près. Visiblement âgé d'une trentaine d'années, il n'exprimait que des émotions éphémères sur son visage. Mais bon, elle devait se contenter de cette attitude pour le moment.
Heureusement que l'autre personne semblait plus emballée par ses dons de marionnettiste. D'ailleurs, Yukishiro posa à nouveau les yeux sur elle et prit la parole d'une voix douce :

- Je gagne ma vie en étant marionnettiste, je travaille sous le pseudonyme de Puppet Girl. Vous devriez un jour venir assister à l'un de mes spectacles ! Au fait, je m'appelle Yukishiro, mais comme mon prénom est plutôt long, appelez-moi tout simplement Yuki.

La demoiselle passa une main dans ses cheveux, caressant délicatement quelques mèches noirs de jais. Maintenant qu'elle s'était présentée, la curiosité d'en apprendre un peu plus sur la musicienne lui procurait un profond sentiment d’excitation. Il était toujours plus facile de satisfaire les besoins de l'autre quand on apprenait à le connaître, toutes ses informations seront ainsi très utiles pour Yuki. Et, avec un peu de chance, l'autre individu allait également se présenter ? Vu les précédentes circonstances, mieux valait ne pas trop espérer.
Or, la vie n'était qu'une immense mise en scène pour la marionnettiste. Il fallait en profiter au maximum pour tenter de jouer une multitude de rôle afin de s'épanouir pleinement auprès des spectateurs.
Ainsi, elle se tourna à nouveau vers l'androgyne assis à ses côtés. Est-ce que lui aussi serait par hasard tenté de revoir ce genre d'interprétation ? Afin de s'en assurer, la marionnettiste eut soudain une idée de génie. D'un regard pétillant de malice, elle tendit la petite poupée de tissus vers lui.

- Tenez, vous souhaitez peut-être l'observer de plus prêt ?

La main tendue, elle lui adressa un charmant sourire du coin des lèvres, un sourire qui se voulait irrésistible.

Bien sûr, l'androgyne ne bougeait pas d'un trait. Par ailleurs, la marionnettiste avait l'air plutôt d'être heureuse de s'être fait applaudir. Enfin, un bonheur solo. Puisque malheureusement, il n'y a eu que Aiko à avoir en redemander encore et encore.. Mais par contre, l'androgyne avait bien l'air de s’intéresser à la marionnette. Il l'a scrutait des yeux sans détourner son regard. Il semblait plutôt attentif à cela. En tous cas, cette magnifique représentation avait rappelé à Aiko son enfance, que jamais elle n'oublierait. Pourquoi? tout simplement que maintenant, cette époque devenait sûrement la fin de son existence libre. Elle se sentait surveillée à chaque moment, chaque pas effectué. Sa vie privée était brisée, elle n'osait même plus se faire du plaisir toute seule. Que fallait-il faire? Après observation, elle remarqua qu'une simple représentation de Marionnette pouvait lui donner la même sensation qu'un orgasme. Il fallait bien se faire plaisir par tout les moyens en même temps..

Revenue à ses pensées, Aiko entendit la voix douce de la Marionnettiste:

- Je gagne ma vie en étant marionnettiste, je travaille sous le pseudonyme de Puppet Girl. Vous devriez un jour venir assister à l'un de mes spectacles ! Au fait, je m'appelle Yukishiro, mais comme mon prénom est plutôt long, appelez-moi tout simplement Yuki.

Yukishiro, quel joli patronyme. Aiko sentait un charme spécial venant du corps de Yuki, ça ne lui déplaisait pas du tout.. Elle là sentait très gentille et dotée d'une grande sensibilité. Ce que Aiko cherchait absolument, un personnage digne de s'occuper à la perfection d'elle..
L'androgyne ne bougeait toujours pas, encore assit sur son muret. Aiko n'osait pas tenter une approche vers cet étrange personnage. En tous cas, elle voulait connaître Yuki plus en détail, oh oui cela elle le voulait.

"Je me nomme Aiko. Je suis toute seule, je ne connais personne. Je n'ai plus aucun plaisir à quoi que ce soit.. En tous cas, votre spectacle m'a rappelée tellement de souvenir.. Même des inconnus. Des images dans mon esprit que jamais je n'avais pensé ou découvert.. J'aimerai vraiment être à vos spectacles, c'est l'une des seules sources de bonheur que j'ai eu la chance de connaître sur cette île.."

Aiko commençait à rougir. Elle n'était pas vraiment gênée ou mal à l'aise, mais plutôt sous son charme, qui lui plaisait et transformait son visage en une petite tomate. Mais Aiko vit que Yuki voulait aussi tenter une approche amicale vers l'androgyne. C'est pourquoi elle tendit sa main avait la petite étoile qui s'étendait sur sa paume vers cet étrange personnage.